Description
Leur processus de fabrication est au cœur de l’originalité de leur produit. Une machine humidifie, chauffe et aplatit leur blé brut. A la sortie, ils obtiennent une série de galettes fines et craquantes à 100% composée de blé.
“Bon en goût, bon pour votre santé et bon pour l’environnement !” C’est l’engagement de Charles et Pilou en produisant ces chips sans friture et avec des ingrédients sains et locaux. Découvrez leur histoire dans l’onglet “qui se cache derrière”.
Une touche d’originalité à découvrir lors d’un apéritif ou pique-nique
Qui se cache derrière?
C’est l’histoire de deux copains picards, fils d’agriculteurs. Après quelques expériences professionnelles respectives, ils se retrouvent pour un projet commun. Pierre-Louis (appelez-le Pilou !) s’installe sur l’exploitation familiale en 2020, Charles lui reprendra la ferme d’ici quelques années lors du départ à la retraite de son père. L’atelier de production est installé à seulement 15km.
L’étape suivante consiste à les aromatiser, à la main et avec des ingrédients locaux et de qualité. Réalisées sans friture, ces chips sont 50% moins grasses en moyenne que les chips du commerce.
Sur les fermes familiales, les céréales sont cultivées depuis plusieurs générations en agriculture raisonnée. Ce mode de production vise à concilier les volets : Les volets économique (rendement suffisant) et environnemental : gestion des ressources en eau, préservation des sols, utilisation pondérée des pesticides et des engrais si aucune autre solution n’est possible.
En plus du blé, Pilou cultive également du lin, des betteraves, des pommes de terre, de l’orge, des pois de conserve, du maïs, … et favorise ainsi la rotation des cultures.
Pour continuer son engagement environnemental, Pierre Louis vise maintenant la certification “Haute Valeur Environnementale” pour son exploitation.
Le mot de Pilou :
« Les agriculteurs souffrent, au même titre que les consommateurs, du manque de transparence des filières alimentaires. Aujourd’hui, il est très difficile de savoir exactement ce qui est fait des matières premières que nous produisons sur nos fermes. Sans compter qu’elles parcourent ensuite souvent des centaines voire des milliers de kilomètres entre leurs lieux de production, de transformation et de consommation.
On va voulu quelque chose qui soit bon en goût, bon pour les consommateurs et bon pour la planète ! »