Description
Saucisson de bœuf traditionnel. Préparé au lycée agricole de Saint Flour sans aucun conservateurs ni additifs chimiques.
Les animaux sont élevés à l’herbe dans nos alpages ainsi que sur les parcelles autours de l’exploitation familiale. En hiver, les animaux sont nourris avec du foin produits sur l’exploitation et les drêches issue de la distillerie de whisky de Laguiole.
Découvrez toute la description dans l’onglet “qui se cachent derrière”.
Astuce : comment ralentir le séchage d’un saucisson ? Conservez-le au frais et il restera plus tendre. Ou mangez le vite !
Le saviez-vous ?
Star incontestée de l’apéro, le saucisson est entré depuis bien longtemps dans le quotidien des français. Nous sommes le plus grand consommateur de saucisson !
L’année 2020 pourrait même rester dans les annales de la charcuterie française comme l’année du saucisson. Les ventes de saucisson sec ont connu une année exceptionnelle, augmentant de 9,3 % en volume à plus de 78 000 tonnes, et de 14,4 % en valeur.
Peut-être une conséquence des apéros se sont multipliés en famille ou en visio lors des périodes de confinements.
Qui se cache derrière?
La ferme se trouve au cœur du plateau de l’Aubrac, aux portes de Laguiole, à 1080 mètres d’altitude. Très attachés à la race traditionnelle Aubrac, Jean-François et Marie-Hélène représentent aujourd’hui la 4ème génération de la famille qui élève avec passion un troupeau de 70 mères.
Le système d’élevage extensif à l’estive garantit une viande de grande qualité. Les vaches Aubrac allaitent leur petit jusqu’au sevrage, à 7-8 mois. L’alimentation du troupeau est principalement faite d’herbe des pâtures. L’hiver, le troupeau est nourri avec des fourrages de l’exploitation et la drêche d’orge produite par la distillerie de whisky voisine. Très appétente, les vaches en raffolent !
Tributaires du temps qui peut être rude sur le plateau, les animaux sortent dès que cela est possible autour de la ferme puis montent en estive à 1200m en juin. La transhumance se fait à pied, au rythme des animaux. L’hiver, le troupeau est rentré à l’étable.
Le mot de Jean-François :
« La race Aubrac est une histoire de famille. Alors que la race était en déclin, mes parents sont entrés à l’Herdbook Aubrac (registre généalogique de la race) en 1979. Elle s’adapte parfaitement à nos conditions climatiques qui sont, parfois, extrêmes : écarts de températures, vent, froid. En plus d’être très belles, ces vaches sont peu exigeantes et réputées pour ses grandes qualités d’élevage. »